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3 février | 13h33
Allan Vigreux : "Jouer notre jeu"
Le joueur de la Stéphanoise Futsal, Allan Vigreux, est forcément impatient de croiser la route du Nantes Métropole en 32emes de finale de Coupe Nationale ce week-end !
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Alors que le club fêtera bientôt ses dix ans d'existence, plus précisément au mois de septembre, la Stéphanoise Futsal s'apprête à vivre un grand moment dans sa jeune histoire. En effet, le club présidé par Florian Bahuaud, président fondateur et entraîneur qui nous avait confié ses impressions après la qualification, va disputer un 32eme de finale de Coupe de France face à une équipe de D1, le Nantes Métropole Futsal. Le club pensionnaire de R2 va donc tenter de rivaliser, ce week-end, avec l'armada d'internationaux qui composent les rangs adverses. L'occasion d'en parler avec Allan Vrigneux.
Allan, avant d'évoquer cette rencontre, quel sentiment prédomine aujourd'hui ?
Je suis très content de ce parcours cette historique pour le club. C’est la première fois qu’on se qualifie pour un 32eme de finale de Coupe de France donc nous sommes très heureux d’être arrivés jusque-là, c’est aussi une fierté pour nous-mêmes.
Après un parcours régional, comment appréhendes t-on une affiche contre une équipe de D1 ?
Sincèrement, le match on l’appréhende comme un match normal. C’est sûr qu’on est très excité à l’idée de jouer contre une très bonne équipe mais il ne faut pas avoir de pression particulière. On va juste jouer notre jeu.
Et dans la préparation, c'est différent ?
On essaye de se préparer de la meilleure des manières en revoyant tout ce qu’on a appris depuis le début de l’année. On les a déjà vu jouer pour la plupart, on a prévu une petite séance vidéo également. Mais je pense que le plus important c'est de garder l’état d’esprit des deux matches précédents, au niveau de la combativité et de la cohésion notamment !
Les mesures sanitaires vous ont-elles handicapées sur ces dernières semaines ?
Nous n’avons pas pu jouer pendant un ou deux week-ends mais on a continué à s’entraîner pour ne pas perdre le rythme. C’est sûr que c’est plus compliqué par rapport à certaines équipes mais c’est comme ça, on n’y peut rien. En tout cas, nous n'auront aucune excuse à ce niveau !
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