Ce soir, c'est la plus belle des compétitions de football français qui est de retour. Les 16es de finale de la Coupe de France vous attendent et dès ce soir, l'OGC Nice et l'AS Monaco sont en lice pour se qualifier pour les huitièmes de finale.

De retour à Furiani

L'OGC Nice s'était débarrasser de l'USC Corte lors du dernier tour au stade Armand Cesari de Furiani. Dans une ambiance chaude en Corse, la tâche n'avait pas été simple pour les Aiglons réduits à dix à la 39e minute. Il aura fallu attendre la séance de tirs aux buts pour voir le Gym s'imposer sur le fil. Cette fois-ci, les Niçois sont de retour à Furiani puisqu'ils vont affronter le SC Bastia dont le stade Armand Cesari est l'antre. Si la dernière fois, le Gym était opposé à une formation de National 3, le Sporting sera d'un tout autre calibre surtout lorsqu'on connaît la rivalité historique entre les deux clubs. L'avantage est tout de même clairement du côté de l'OGC Nice, qui est en forme actuellement et qui occupe la 4e place de Ligue 1 depuis sa victoire face à Reims ce week-end. L'atmosphère s'annonce brûlante dans le nord de la Corse et Benoît Bastien risque d'avoir du travail au sifflet ce soir...

Retrouver le sourire

Deux victoires lors des neuf derniers matchs, c'est le bilan récent de l'AS Monaco. De nouveau tenus en échec ce week-end face à Nantes, les Monégasques traverse la pire période de leur saison, eux qui avaient si bien débuté. La Coupe de France, c'est différent, c'est parfois une compétition qui permet de passer à autre chose et de se remettre dans le droit chemin car les attentes sont peut-être différentes. Ce soir, à 20h45, l'ASM sera opposée au Stade de Reims, équipe face à laquelle elle avait concédé le nul (0-0) au stade Auguste Delaune. Dans cette compétition, on ne pourra pas partager les points cette fois, il va falloir, d'un côté comme de l'autre, prendre des risques. Ce match fait partie des trois seuls chocs entre clubs de Ligue 1 et à ce stade de la compétition, tout autre résultat qu'une qualification sera perçu comme un échec cuisant...

Jules Gris