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1 novembre | 14h02

Une Étoile Sportive Ornaysienne renversante

Menés 2-1 à la pause, Dylan Amokrane et ses partenaires sont parvenus à inverser la tendance sur le terrain de l'AS Sautron (N3) pour envoyer l'Etoile Sportive Ornasyienne (R1) au 7eme tour de la Coupe de France !

Coupe de France Pays de la Loire

Alors que les Vendéens avaient frappé les premiers dans cette rencontre par l'intermédiaire d'un Dylan Amokrane tout simplement irrésistible hier après-midi, l'Étoile Sportive Ornaysienne a ensuite vu son adversaire du jour, l'AS Sautron, revenir au score puis passer devant avant le retour aux vestiaires. La suite, c'est le triple buteur du jour qui vous la raconte : "Le sentiment principal c'est de la fierté. Ce qu'on a fait hier est juste incroyable. Le scénario du match a fait qu'il a fallu allait au bout de nos forces mais que c'est bon. Cette victoire elle est pour nos supporters qui étaient présents en nombre hier mais aussi pour les bénévoles qui chaque jour œuvrent pour faire marcher le club" nous confiait Dylan Amokrane.

Un scénario "incroyable"

Ce n'est qu'à la 71eme minute que les joueurs de Julien Siclon vont reprendre espoir. Christopher Nsingi va remettre les équipes à égalité avant que le triple buteur du jour ne sévisse une nouvelle fois à la 79eme et une dernière à la 92eme. Un scénario qu'il peine même à qualifier : "C'est incroyable car en étant mené 2 1 à la mi-temps chez une équipe qui évolue un niveau au dessus nous. On a réussi à trouver collectivement les ressources nécessaires pour aller chercher cette qualification. La scène de joie avec les supporters lors du 3ème but, rien que d'en parler ça met les frissons".

Avant de conclure son propos, l'attaquant vendéen évoque bien entendu l'état d'esprit lors de ce second acte. Celui qu'il faudra retrouver au 7eme tour de la Coupe de France, avec l'entrée en lice des clubs de Ligue 2, et qu'il faudra préserver en championnat : "Le coach nous a dit qu'on était encore vivant et qu'il avait confiance en nous. Il a su trouver les mots justes. On était capable de le faire, il fallait juste être plus agressifs et très efficaces lors de nos situations".

Crédit photo : ESOF

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