1 décembre | 21h57
Florian Maurice : "Un couac complet au niveau de l'arbitrage ce soir"
Ce dimanche, l'OGC Nice s'est incliné sur la pelouse de l'Olympique Lyonnais (4-1) lors de la 13e journée de Ligue 1. Une défaite qui ne passe pas pour le directeur sportif, Florian Maurice qui s'est présenté en zone mixte. (Crédit photo : Icon Sport)
Quelques jours après la défaite face au Glasgow Rangers en Ligue Europa, l'OGC Nice avait à coeur de se reprendre en Ligue 1 face à Lyon. Après une bonne entame, les Aiglons se sont lourdement inclinés (4-1). Présent en zone mixte, Florian Maurice a évoqué la prestation de ses hommes, "le sentiment ce soir ? Il y a de l'énervement. Quand on perd 4-1, on ne peut pas se satisfaire de ce contenu-là. Pas sur l'ensemble du match, parce qu'il y a tout de même des choses intéressantes notamment sur l'aspect offensif. C'est une grosse déception ce soir, on espérait faire un meilleur résultat suite à la lourde défaite de jeudi soir".
Franck Haise ne l'accepte pas
Agacé, le directeur sportif du Gym a fustigé également l'arbitrage. "Je vais faire celui qui va se plaindre de l'arbitrage, mais j'estime qu'il y a certaines situations qui ont été mal jugées par l'arbitre et la VAR", a indiqué Florian Maurice avant de revenir notamment sur le penalty non sifflé sur Evan Guessand. "Quand on ne siffle pas penalty sur Evan et qu'on siffle la petite faute de Rosario sur le but refusé, je trouve ça scandaleux". Et de poursuivre : "j'ai revu les images, ce n'est pas possible de ne pas siffler penalty sur une action comme ça. Ce soir, ça a dépassé les bornes, il y a eu un couac complet au niveau de l'arbitrage".
Un son de cloche identique du côté de Franck Haise en conférence d'après-match. "C'est un match où les décisions litigieuses étaient tous dans le même sens", a affirmé le coach niçois. Avant d'enchaîner : "il faudrait penser à la sonorisation des arbitres. L'arbitre ne doit pas expliquer sa décision qu'à moi. Mais il faut expliquer pourquoi il n'y a pas penalty à tout le monde, aux supporters, aux éducateurs... Je ne peux pas l'accepter".
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