Melvin, un mot sur votre qualification (1-1, tab 3-2) contre l’Olympique Adamois (R2) ?

Plutôt satisfait de notre prestation, on est sur une bonne dynamique depuis plus d’un mois. On arrive à mettre en place notre style de jeu et ça fonctionne. On savait que l’adversaire allait mettre de l’impact dans les duels et qu’ils allaient nous empêcher sur les premières relances pour nous empêcher d’avoir la possession. On a très bien géré les pressings adverses en conservant le balle et on savait pertinemment que si ça passait comme ça, l’adversaire allait jouer en contre. Une de nos forces de cette année, et qu’on soit capable de réagir suite à un but encaissé, et c’est ce qu’on a fait. On a aussitôt réagi après le but d’Adamois. On a poussé en deuxième mi-temps pour mener au score et on a manqué de réalisme devant le but. Aux tirs au but, nous sommes restés confiants et persuadés que nous allions gagner. Désormais, nous attendons de savoir qui sera notre adversaire dimanche prochain.

Carton le 12 février dernier en championnat face à Val d’Europe (5-2), c’était un match parfait selon toi ?

Le match contre Val d’Europe n’est pas un match parfait, nous aurions pu faire beaucoup mieux. L’ensemble de ce que nous avons proposé sur le terrain est bon, et nous avons encore beaucoup de choses à travailler. Malgré le large score, nous aurions pu marquer beaucoup plus que cinq buts.

Après 13 journées, ton équipe est-elle à sa place ?

Après 13 journées, nous sommes troisième du championnat. Nous essayons de rattraper les erreurs commises en début de saison. On reste sur la bonne dynamique qu’on a et on essaye d’aller chercher la première place.

Que vous manque-t-il pour accrocher davantage les deux premiers, Montfermeil et le FC Argenteuil ?

Pour accrocher les deux premiers, il nous manque pas grand-chose. Nous avons joué le match retour contre Montfermeil chez nous, et nous avons très bien joué malgré que le résultat ne soit pas en notre faveur. Nous payons juste les erreurs commises plutôt dans le championnat.

Propos recueillis par Farid Rouas