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30 novembre | 14h06

Michel Der Zakarian : "Le danger c’est nous"

A la veille de la réception de Saint-Etienne, pour le compte de la 16e journée de Ligue 1, l’entraîneur du Stade Brestois a listé les points dont lui et son équipe devaient se méfier.

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Le Stade Brestois est prêt à enchaîner. Après sa série de quatre victoires consécutives, dont certaines face à des cadors comme l’AS Monaco ou le RC Lens, l’équipe finistérienne aborde un prochain rendez-vous face à la lanterne rouge de Ligue 1, Saint-Etienne. Au vu des dernières prestations des Ty-Zef et de la dynamique stéphanoise, un cinquième succès de rang pourrait paraître plus qu’abordable.

De la continuité

Pourtant, à la veille de cette affiche comptant pour la 16e journée, le technicien du SB29 préfère se montrer prudent. “Face à Saint-Etienne, ce sera important comme contre Bordeaux. Ce n’est pas parce qu’on a gagné quatre matches d’affilée que c’est terminé, annonce Michel Der Zakarian, lors du traditionnel point presse d’avant-match. Il faut continuer à engranger des points et on devra de toute façon se battre pour le maintien.” Longtemps dans la zone rouge, la formation finistérienne s’en est pourtant éloignée ces dernières semaines. A l’heure actuelle, le premier relégable, Clermont, se situe à cinq points de Brest. Saint-Etienne n’en compte que 12, soit six de moins que les partenaires de Brendan Chardonnet.

Saint-Etienne - Brest, les frères jumeaux ?

Il n’empêche que Michel Der Zakarian voit en ces deux équipes des similitudes. “L’ASSE est une équipe qui nous ressemble. Elle a pris beaucoup de buts aussi, elle attaque bien, il y a de bons joueurs offensifs qui ont de la vitesse. Elle est vaillante, elle ne lâche rien, elle est accrocheuse à l’image de son coach”, décrit encore le coach brestois. Autant de qualités qui incitent MDZ à se méfier, et à laquelle il faut en ajouter une autre : “Le danger c’est nous, c’est le relâchement. Si on ne garde pas nos principes, si on n’est pas compacts, l’équipe ne pourra pas fonctionner. Il faut que collectivement on reste cohérents”.

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