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26 janvier | 0h00

Pourquoi 81% des entraîneurs au haut niveau sont d'anciens milieux ou défenseurs ?

Actufoot a essayé d'analyser pourquoi les anciens défenseurs et milieux de terrain ont plus aisément vocation à se reconvertir entraîneurs.

2 min.
GARCÍA
Après avoir effectué un rapide diagnostic du passé des 58 techniciens exerçant de la Ligue 1 au National, Actufoot a essayé d'analyser pourquoi les anciens défenseurs et milieux de terrain ont d'avantage vocation à se reconvertir en tant qu'entraîneur.

Avoir été joueur de football professionnel ne garantit en rien une (belle) carrière d’entraîneur au haut niveau, c’est un fait. Mais il faut tout de même souligner que très peu de techniciens parviennent à s’y hisser sans s’être fait ne serait-ce qu’un petit nom dans le foot. L1 et L2 confondues, ils se comptent d’ailleurs sur les doigts d’une main. Le libre-penseur André Villas-Boas (OM), qui, conscient de ses limites physiques et techniques, s’est rapidement orienté vers les statistiques et l’analyse du football. Christophe Pélissier, modeste joueur de National qui a mené sportivement Luzenac en Ligue 2 et qui entraîne à ce jour Lorient. Fabien Mercadal (Dunkerque) n’est pas allé plus haut que la D3 tandis que Bruno Luzi a refusé un contrat aspirant professionnel pour retrouver sa famille sur Chambly. Sans oublier le dernier arrivé dans l’antichambre, Sébastien Desabre, qui a débuté le « métier » au niveau District dans les Alpes-Maritimes. Il a ensuite poursuivi une riche carrière en Afrique et au Moyen-Orient avant d’atterrir l’été dernier à Niort avec succès.

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