Josué, tu retournes à St Leu que tu as connu en 2019-2020. Pourquoi ce retour ?

Ma priorité est d’être à côté de la maison. Comme chaque saison, j’ai des sollicitations pour de la N2 et de la N1. J’ai d’autres priorités aujourd’hui. St Leu c’est à côté de la maison donc ça tombe bien.

On peut connaître les clubs qui t’ont contacté ?

Par respect pour les gens qui m’ont téléphoné, je ne donnerai pas de nom. Ce sont des gens que je connais bien. Mais il y a un club en Alsace, un sur Paris.

La montée en National 3 à court terme est-elle plus atteignable avec St Leu plutôt qu’avec Saint Ouen l’aumône (ton dernier club) ?

Je ne sais pas encore vraiment quel niveau de performance, on aura avec l’équipe. Mais le club se donne les moyens d’atteindre ses objectifs. Comme souvent le président fait les efforts.

Rester dans le Val d’Oise était une priorité pour toi ?

Rester dans le val d’Oise est ma priorité dans le sens où les proportions en dehors ne sont pas à la hauteur. J’ai une famille et des enfants aujourd’hui.

Passé par le stade de Reims (Ligue 1, Ligue 2), Paris FC (National), Mulhouse (CFA), Villemomble (CFA), Plabennec (National) et Bobigny (N3), c’est un beau parcours à en rendre jaloux certains. Qu’est-ce qui te fait encore courir ?

Franchement l’amour du foot ! C’est ce que j’ai fais toute ma vie. Centre de formation à 12 ans, je ne connais rien d’autre. Aujourd’hui, il faut prévoir la suite mais j’ai l’amour du foot comme au début. Je viens d’avoir mon BEF donc je suis également à l’écoute de toutes les propositions. Le foot sera toujours une passion.

Ce qui veut dire, une future reconversion alors sur un terrain ?

Non pas forcément. Je suis vraiment ouvert à ce niveau-là.

Propos recueillis par Farid Rouas